“O mon pays si triste est la saison/ qu'il est venu le temps de se parler par signes”
“O mon pays/ je t'aime comme un être de chair/ et je sais ta souffrance et je vois ta misère/ et me demande la rage au coeur/ quelle main a tracé sur le registre des nations/ une petite étoile à coté de ton nom”
“Etranger qui marches dans ma ville/ souviens-toi que la terre que tu foules/ est terre du poète/ et la plus noble et la plus belle”
“L'été s'achève/ de quelle couleur est la saison nouvelle/ sinon d'espoir”