“Bastos, il l'a trouvé au fond d'une poubelle. Tout petit, tout miteux... Il s'est laissé attendrir. Le soir même, il a commencé à le regretter. Le petit salopard avait trouvé ses cigarettes dans la poche de sa veste et les avait dépiautées pour se rouler dedans ! L'odeur des brunes le rendait fou ! Et pas moyen de le détourner de son vice ! En tout cas, c'est comme ça que pendant des années, Raymond s'est fait faire les poches par son chat...”