Boris Vian was a French polymath: writer, poet, musician, singer, translator, critic, actor, inventor and engineer. He is best remembered for novels such as L’Écume des jours and L'Arrache-cœur (translated into English as Froth on the Daydream and Heartsnatcher, respectively). He is also known for highly controversial "criminal" fiction released under the pseudonym Vernon Sullivan and some of his songs (particularly the anti-war Le Déserteur). Vian was also fascinated with jazz: he served as liaison for, among others, Duke Ellington and Miles Davis in Paris, wrote for several French jazz-reviews (Le Jazz Hot, Paris Jazz) and published numerous articles dealing with jazz both in the United States and in France.
“Il apparaît en effet que les masses ont tort, et les individus toujours raison.”
“Á l’endroit où les fleuves se jettent dans la mer, il se forme une barre difficile á franchir, et de grands remous écumeux où dansent les épaves. Entre la nuit du dehors et la lumière de la lampe, les souvenirs refluaient de l’obscurité, se heurtaient a la clarté et, tantôt immergés, tantôt apparents, montraient leurs ventres blancs et leurs dos argentés.”
“- Qu’est-ce que vous faites dans la vie, vous? – J’apprends des choses, dit Colin. Et j’aime Chloé.”
“Il était presque toujours de bonne humeur, le reste du temps il dormait.”
“Elle voulait que sa vie prit forme maintenant, tout de suite - et cette décision devait être forgée par une force quelconque - d'amour, d'argent, d'un ordre pratique incontestable - qui devait être la, sous sa main.”
“Когато не се чувствате добре, накарайте друг да ви почувства.""Прекалената непорочност е нечовешка.”
“Sans le jazz, la vie serait une erreur”
“- Tomu nevěřím. To už není ten Chick, jaký býval dřív.- Ale je. Lidé se nemění. Věci se mění.”
“Aşk bazen; asla sahip olamayacağın birini sevmektir.”
“Bir tarih kitabının üzerinde bunalmaktansa doğru dürüst sevişmeyi öğrenmek mübahtır.”
“MADRE. - Y fuimos a establecernos en Arromanches, donde te ofrecieron un buen trabajo.PADRE. - Desollador. Un poco como escultor, pero más animado.”
“Mais Colin ne savait pas, il courait, il avait peur, pourquoi ça ne suffit pas de toujours rester ensemble, il faut encore qu’on ait peur, peut-être est-ce un accident, une auto l’a écrasée, elle serait sur son lit, je ne pourrais la voir, ils m’empêcheraient d’entrer, mais vous croyez donc peut-être que j’ai peur de ma Chloé, je la verrai malgré vous, mais non, Colin, n’entre pas. Elle est peut-être blessée, seulement, alors, il n’y aura rien du tout, demain, nous irons ensemble au Bois, pour revoir le banc, j’avais sa main dans la mienne et ses cheveux près des miens, son parfum sur l’oreiller. Je prends toujours son oreiller, nous nous battrons encore le soir, le mien, elle le trouve trop bourré, il reste tout rond sous sa tête, et moi, je le reprends après, il sent l’odeur de ses cheveux.”
“Je passe le plus clair de mon temps à l'obscurcir parce que la lumière me gêne”
“onaltı dümen ve sürekli erdemlilik yılı. onaltı sıkıntılı yıl geride ne kaldı? yalıtılmış, ufak görüntüler. yeni kitapların kokuları, bir ekim resmini yaptığımız yapraklar, uygulamalı çalışmalarda kesilmiş kurbağanın formol kokulu iğrenç karnı, tatile çıkacakları için öğretmenlerin de insan olduklarının fark edildiği ve sınıfın daha tenha olduğu senenin son günleri. artık sebebini bilmediğimiz tüm o büyük korkular, sınav akşamları. düzenli bir alışkanlık. bununla sınırlıydı. artık biliyor musunuz bay brul, çocuklara onaltı yıl süren düzenli bir alışkanlığı dayatmak alçaklık? zaman bozuldu, bay brul. gerçek zaman, eşit saatlere bölünmüş ve mekanik değildir. gerçek zaman özneldir. içinde taşırsın. her sabah saat yedide kalkın. öğlen yemek yeyip, dokuzda yatın. asla kendinize ait bir geceniz olmaz. denizin alçalmayı bırakıp durduğu bir an, tekrar yükselmeden önce gecenin ve gündüzün birbirine karışıp eridiği ve nehirlerin okyanusla karşılaşmalarındakine benzeyen bir coşku seti oluşturduğu, dingin bir zamanın varolduğunu asla bilemezsiniz. onaltı yıl gecelerimi çaldılar, bay brul. beşinci sınıfta, altıncı sınıfa geçmemin tek ilerleyişim olması gerektiğine inandırdılar beni. son sınıfta bitirme sınavını vermem gerekiyordu. ardından bir diploma. evet bir amacım olduğunu sanıyordum bay brul. ama hiçbir şeyim yoktu. başlangıcı ve sonu olmayan koridorda, bir embesiller römorkunda, diğer embesilleri izleyerek ilerliyordum. hayatımızı diplomalarla geçiştiriyoruz. aynı zorlanmadan yutturmak için kapsüllerin içine acı tozlar konması gibi. görüyor musunuz bay brul, hayatın gerçek tadını sevebilirmişim bunu şimdi anlıyorum.”
“Ce qui m'interesse, ce n'est pas le bonheur de tous les hommes, c'est celui de chacun.”
“Je ne veux pas gagner ma vie, je l'ai.”
“- Je l'ai tué, dit Angel.- Non, dit Petitjean. Vous l'avez poussé et il est mort en arrivant sur les cailloux. C'est un hasard.”
“La vie est amère quand il n'y a pas de sucre au fond”
“Cette histoire est vraie puisque je l'ai inventée.”
“Je suis vide. Je n'ai que gestes, réflexes, habitudes. Je veux me remplir. C'est pourquoi je psychanalyse les gens...Je n'assimile pas. Je leur prends leurs pensées, leurs complexes, leurs hésitations et rien ne m'en reste. Je n'assimile pas; ou j'assimile trop bien..., c'est la même chose. Bien sure, je conserve des mots, des contenants, des étiquettes; je connais les termes sous lesquels on range les passions, les émotions, mais je ne les éprouve pas.”
“On ne reste pas parce qu'on aime certaines personnes; on s'en va parce qu'on en déteste d'autres. Il n'y a que le moche qui vous fasse agir. On est lâches.”
“Une sortie, c'est une entrée que l'on prend dans l'autre sens.”
“Dios os contempla, mierdosos, y se avergüenza de vosotros...”
“Le plus clair de mon temps je le passe à l'obscurcir.”
“Quiero proceder a una especie de identificación. Saber que las pasiones existen y no poder sentirlas es horroroso.- Pero entonces -dijo Ángel-está claro que tiene usted por lo menos este deseo, y eso basta para que no esté tan vacío.- No tengo ningún motivo para decidirme por una cosa más bien que por otra -dijo Jacquemort-. Deseo robarles a los demás las razones que tienen.”
“A un lado estaban los jugadores, sentados en butacas de cuero; al otro lado, gente de pie, hombres o mujeres según los gustos, desnudos y atados. Sandre y Berzingue llevaban ya sus cerbatanas de sangrita con sus iniciales grabadas, y Lazuli cogió dos de una bandeja, una para Wolf y otra para él, y una caja de agujas. Sandre se sentó, se llevó la cerbatana a la boca y sopló. Al otro extremo, frente a él, había una niña de quince o dieciséis años. La aguja se clavó en la carne de su pecho izquierdo, y se formó una gran gota de sangre que fue descendiendo a lo largo del cuerpo.”
“Al pasar cogió un puñado de cerezas de un plato y Wolf se hizo a un lado para dejarla salir. Tocaban la noche con todo su cuerpo.”
“C'est drôle comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.”
“Il poussa la porte. Elle lui rendit brutalement sa poussée et il entra par la vitrine, sans insister.”
“Vous sentez la forêt, avec un ruisseau et des petits lapins.”
“Les boutiques de fleuristes n'ont jamais de rideau de fer. Personne ne cherche à voler des fleurs.”
“There are only two things: love, all sorts of love, with pretty girls, and the music of New Orleans or Duke Ellington. Everything else ought to go, because everything else is ugly. ”