“Freundschaft, ou quelque chose comme ça. Ta meilleure amie gagne un million au Loto, t'es contente pour elle et, en même temps, tu peux pas t'empêcher de penser avec rage: "Pourquoi pas moi?".J'adore Ariane, mais quand je vois sa vie parfaite, c'est pareil. "Pourquoi pas moi?".J'ai horreur de penser des trucs comme ça.”

Agathe Hochberg
Happiness Neutral

Explore This Quote Further

Quote by Agathe Hochberg: “Freundschaft, ou quelque chose comme ça. Ta meil… - Image 1

Similar quotes

“Si je rencontrerais ajourd'hui, je lui filerais une grande claque pour le punir de m'avoir maudite en me souhaitant des expériences. Et je pleurerais sur son épaule, pour des tas de raisons. Pas parce qu'il ne m'a pas épousée, mais à cause de toutes les désillusions qui sont venues avec mes expériences.”


“C'est affreux ces rendez-vous annuels qui autorisent les gens à faire un bilan de votre vie, trois questions et leurs yeux vous disent "tu n'as pas avancé", au mieux avec inquiétude, au pire avec mépris.”


“La vie est un voyage solitaire et, être mariée n'y change rien. D'ailleurs je pense que le fait de ressentir cette solitude avec la même intensité alors qu'en théorie on est deux est une souffrance encore plus cruelle. Il y a un facteur chance à l'origine de chaque rencontre, après on gère comme on peut ce que la vie nous donne. Or, c'est bien connu, la vie est injuste et, en plus elle a un goût douteux.”


“Tu t'imagines qu'un mensonge en vaut un autre, mais tu as tort. Je peux inventer n'importe quoi, me payer la tête des gens, monter toutes sortes de mystifications, faire toutes sortes de blagues, je n'ai pas l'impression d'être un menteur ; ces mensonges-là, si tu veux appeler cela des mensonges, c'est moi, tel que je suis ; avec ces mensonges-là, je ne dissimule rien, avec ces mensonges-là je dis en fait la vérité. Mais il y a des choses à propos desquelles je ne peux pas mentir. IL y a des choses que je connais à fond, dont j'ai compris le sens, et que j'aime. Je ne plaisante pas avec ces choses-là. Mentir là-dessus, ce serait m'abaisser moi-même, et je ne le peux pas, n'exige pas ça de moi, je ne le ferai.”


“GambergeTu gamberges. Tu regardes ta vie. Ça ne colle pas. Alors tu déprimes. Combien de vies ratées pour une vie réussie ? C'est quoi, les proportions ? Qu'est-ce que j'ai mal fait pour en arriver là ? C'est quand, que j'ai merdé ? J'ai encore le temps de me rattraper ? Combien de chances il me reste pour m'en sortir pas trop mal ? Elle peut encore changer, ma vie ? Je ne suis pas fait pour cette vie-là ? Ça se change, une vie ? Je veux dire, ça se change vraiment ? C'est quoi, le problème ? C'est ma névrose ? Comment on fait pour tordre une névrose ? J'ai mangé mon pain blanc, alors ? JE l'ai mangé sans m'en rendre compte, c'est ça ? Je vais encore ramer longtemps comme ça ? C'est encore loin, l'Amérique ? Est-ce qu'un jour moi aussi je mâchouillerai un brin d'herbe sous un saule en me disant que la vie est belle ? Qu'elle est sacrement belle ? Faut que j'arrête de gamberger, c'est pas bon.”


“Crois-moi, il n'y a pas de grande douleur, pas de grands repentirs, de grands souvenirs. Tout s'oublie même les grandes amours. C'est ce qu'il y a de triste et d'exaltant à la fois dans la vie. Il y a seulement une certaine façon de voir les choses et elle surgit de temps en temps. C'est pour ça qu'il est bon quand même d'avoir eu un grand amour, une passion malheureuse dans sa vie. Ça fait du moins un alibi pour les désespoirs sans raison dont nous sommes accablés.”