“J'écoutais mon cœur. Je ne pouvais imaginer que ce bruit qui m'accompagnait depuis si longtemps pût jamais cesser.”
In this quote by Albert Camus, the protagonist is reflecting on the constant presence of their heart beating. The protagonist is so accustomed to this sound that they cannot fathom a day without it. This highlights the idea of being in tune with oneself and listening to one's own heart, as a source of guidance and understanding. The quote evokes a sense of deep introspection and the importance of being attuned to one's inner feelings and emotions.
In this quote by Albert Camus, the protagonist emphasizes the significance of listening to their own heart and intuition. In today's fast-paced world filled with distractions and noise, it is important to remember to tune into our inner voice and trust our instincts. Only by listening to our hearts can we truly understand ourselves and make decisions that align with our true desires and values.
The quote by Albert Camus reflects on the idea of listening to one's heart and the constant presence of its rhythm in our lives.
"“J'écoutais mon cœur. Je ne pouvais imaginer que ce bruit qui m'accompagnait depuis si longtemps pût jamais cesser.” - Albert Camus"
Reflecting on Albert Camus' quote, consider the following questions:
“Quelle bouillie, quelle bouillie ! Il faut mettre de l'ordre dans ma tête. Depuis qu'ils m'ont coupé la langue, une autre langue, je ne sais pas, marche sans arrêt dans mon crâne, quelque chose parle, ou quel-qu'un, qui se tait soudain et puis tout recommence ô j'entends trop de choses que je ne dis pourtant pas, quelle bouillie, et si j'ouvre la bou-che, c'est comme un bruit de cailloux remués. De l'ordre, un ordre, dit la langue, et elle parle d'autre chose en même temps, oui j'ai toujours désiré l'ordre !!”
“Heureux les coeurs qui peuvent plier car ils ne seront jamais brisés. Sont-ils si heureux que ça. Un coeur qui ne se brise pas ne peut pas guérir si on ne connait ni l'épreuve ni la guérisson on n'apprend rien et si l'on n'apprend rien on ne change pas. Mais les épreuves et les changements font partie de la vie. Tous les coeurs devraient-ils être brisés?”
“Mais à cette heure, où suis-je ? Et comment séparer ce café désert de cette chambre du passé. Je ne sais plus si je vis ou si je me souviens. Les lumières des phares sont là. Et l’Arabe qui se dresse devant moi me dit qu’il va fermer. Il faut sortir. Je ne veux plus descendre cette pente si dangereuse. Il est vrai que je regarde une dernière fois la baie et ses lumières, que ce qui monte alors vers moi n’est pas l’espoir de jours meilleurs, mais une indifférence sereine et primitive à tout et à moi-même. Mais il faut briser cette courbe trop molle et trop facile. Et j’ai besoin de ma lucidité. Oui, tout est simple. Ce sont les hommes qui compliquent les choses. Qu’on ne nous raconte pas d’histoires. Qu’on ne nous dise pas du condamné à mort : « Il va payer sa dette à la société », mais : « On va lui couper le cou. » Ça n’a l’air de rien. Mais ça fait une petite différence. Et puis, il y a des gens qui préfèrent regarder leur destin dans les yeux.”
“Je ne pouvais rencontrer un homme d'esprit sans qu'aussitôt j'en fisse ma société.”
“Il m'a demandé alors si je n'étais pas intéressé par un changement de vie. J'ai répondu qu'on ne changeait jamais de vie, qu'en tout cas toutes se valaient et que la mienne ici ne me déplaisait pas du tout.”
“Il n’y a pas longtemps, c’étaient les mauvaises actions qui demandaient à être justifiées, aujourd’hui ce sont les bonnes.”