“Clic Clac. Plus personne ne bouge. Moment suspendu. Bonheur.”
In this quote by Anna Gavalda, the sound of "Clic Clac" followed by "Personne ne bouge" creates a sense of stillness and quietude. The mention of a suspended moment and happiness implies a feeling of peace and contentment. This quote captures the beauty and tranquility found in the small, seemingly insignificant moments of life.
In today's fast-paced world, the quote "Clic Clac. Plus personne ne bouge. Moment suspendu. Bonheur." by Anna Gavalda captures the essence of finding peace and happiness in still moments. With constant distractions and the pressure to always be moving, this quote serves as a reminder to pause, appreciate the present, and find joy in the simple things. It emphasizes the importance of mindfulness and staying present in a world that is increasingly filled with noise and distractions.
The quote "Clic Clac. Plus personne ne bouge. Moment suspendu. Bonheur." by Anna Gavalda captures a moment of stillness and happiness.
Taking a moment to pause and reflect on the quote by Anna Gavalda, think about the following questions:
“Dit comme ça, c'était un peu cucul évidemment, mais bon, c'était la vérité et il y avait bien longtemps que le ridicule ne les tuait plus: pour la première fois et tous autant qu'ils étaient, ils eurent l'impression d'avoir une vraie famille. Mieux qu'une vraie d'ailleurs, une voulue, une pour laquelle ils s'étaient battus et qui ne leur demandait rien d'autre en échange que d'être heureux ensemble. Même pas heureux d'ailleurs, ils n'étaient plus si exigeants. D'être ensemble, c'est tout. Et déjà c'était inesperé.”
“...à propos des intellectuels justement... C'est facile de se foutre de leur gueule... Ouais, c'est vachement facile... Souvent, ils sont pas très musclés et en plus, ils n'aiment pas ça, se battre... Ça ne les excite pas plus que ça les bruits des bottes, les médailles et les grosses limousines, alors oui, c'est pas très dur... Il suffit de leur arracher leur livre des mains, leur guitare, leur crayon ou leur appareil photo et déjà ils ne sont plus bons à rien, ces empotés... D'ailleurs, les dictateurs, c'est souvent la première chose qu'ils font: casser les lunettes, brûler les livres ou interdire les concerts, ça leur coûte pas cher et ça peut leur éviter bien des contrariétés par la suite... Mais tu vois, si être intello ça veut dire aimer s'instruire, être curieux, attentif, admirer, s'émouvoir, essayer de comprendre comment tout ça tient debout et tenter de se coucher un peu moins con que la veille, alors oui, je le revendique totalement: non seulement je suis une intello, mais en plus je suis fière de l'être... Vachement fière, même...”
“Alors c'est une connerie l'amour? C'est ça? ça ne marche jamais? Si, ça marche. Mais il faut se battre. Se battre un petit peu. Un petit peu chaque jour, avoir le courage d'être soi-même.”
“Philibert prenait toujours du chocolat au petit déjeuner et son plaisir, c'était d'éteindre le gaz juste avant que le lait déborde. Plus qu'un rite ou une manie, c'était sa petite vistoire quotidienne. Son exploit, son invisible triomphe. Le lait retombait et la journée pouvait commencer : il maîtrisait la situation. ”
“Puisque c'est ainsi. Puisque le temps sépare ceux qui s'aiment et que rien ne dure. Ce que nous vivions là, et nous en étions conscients tous les quatre, c'était un peu de rab. Un sursis, une parenthèse, un moment de grâce. Quelques heures volées aux autres... Pendant combien de temps aurions-nous l'énergie de nous arracher ainsi du quotidien pour faire le mur? Combien de permissions la vie nous accorderait-elle encore? Combien de pieds de nez? Combien de petites grattes? Quand allions-nous nous perdre et comment les liens se distendraient-ils? Encore combien d'années avant d'être vieux?”
“Es dauerte einen Moment, bis er ihr antwortete:Nein, ich spreche von... von eurer Freiheit, glaube ich. Von dem Glück, das ihr habt, für euch zu leben und auf alles andere zu pfeifen.”