“Etranger qui marches dans ma ville/ souviens-toi que la terre que tu foules/ est terre du poète/ et la plus noble et la plus belle”

Anthony Phelps

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“O mon pays/ je t'aime comme un être de chair/ et je sais ta souffrance et je vois ta misère/ et me demande la rage au coeur/ quelle main a tracé sur le registre des nations/ une petite étoile à coté de ton nom”


“Un rideau de flocons blancs ininterrompu miroitait sans cesse en descendant vers la terre; il effaçait les formes, poudrait les choses d'une mousse de glace; et l'on n'entendait plus, dans le grand silence de la ville calme et ensevelie sous l'hiver, que ce froissement vague, innommable et flottant de la neige qui tombe, plutôt sensation que bruit , entremêlement d'atomes légers qui semblaient emplir l'espace, couvrir le monde.”


“Aimer est la seule richesse qui croît avec la prodigalité. Plus on donne et plus il vous reste. [...] Moins il reste de chacun, et plus il reste des deux [...] Je vivrai jusqu'au plus grand âge, pour te donner ma mémoire. J'aurai toujours patrie, terre, source, jardin et maison: éclair de femme. Un mouvement de hanches, un vol de chevelure, quelques rides que nous aurons écrites ensemble, et je saurai d'où je suis.”


“L'été s'achève/ de quelle couleur est la saison nouvelle/ sinon d'espoir”


“Quiconque connaît un peu le coeur de l’homme, et qui a suivi sa marche dans la plus douce des passions, conviendra que la jouissance, c’est-à-dire l’accomplissement de tous les voeux, est la plus dangereuse épreuve de l’amour.”


“O mon pays si triste est la saison/ qu'il est venu le temps de se parler par signes”