“Etranger qui marches dans ma ville/ souviens-toi que la terre que tu foules/ est terre du poète/ et la plus noble et la plus belle”
The quote "Etranger qui marches dans ma ville/ souviens-toi que la terre que tu foules/ est terre du poète/ et la plus noble et la plus belle" by Anthony Phelps highlights the idea that the land we walk on is not just physical ground, but also holds cultural and poetic significance. The use of language to remind strangers of the beauty and nobility of the poet's land adds a sense of reverence and importance to the act of walking on this sacred ground. This quote serves as a reminder to respect and appreciate the history and artistry that surrounds us.
In this quote by Anthony Phelps, the idea of respecting the land as belonging to the poet holds modern relevance in the context of cultural appreciation and environmental conservation. It emphasizes the importance of recognizing the innate beauty and significance of the land we inhabit, and the need to protect and preserve it for future generations.
Here is a powerful quote by Anthony Phelps:
"“Etranger qui marches dans ma ville/ souviens-toi que la terre que tu foules/ est terre du poète/ et la plus noble et la plus belle” - Anthony Phelps"
As you reflect on the powerful words of Anthony Phelps, consider the following questions:
“O mon pays/ je t'aime comme un être de chair/ et je sais ta souffrance et je vois ta misère/ et me demande la rage au coeur/ quelle main a tracé sur le registre des nations/ une petite étoile à coté de ton nom”
“Un rideau de flocons blancs ininterrompu miroitait sans cesse en descendant vers la terre; il effaçait les formes, poudrait les choses d'une mousse de glace; et l'on n'entendait plus, dans le grand silence de la ville calme et ensevelie sous l'hiver, que ce froissement vague, innommable et flottant de la neige qui tombe, plutôt sensation que bruit , entremêlement d'atomes légers qui semblaient emplir l'espace, couvrir le monde.”
“Aimer est la seule richesse qui croît avec la prodigalité. Plus on donne et plus il vous reste. [...] Moins il reste de chacun, et plus il reste des deux [...] Je vivrai jusqu'au plus grand âge, pour te donner ma mémoire. J'aurai toujours patrie, terre, source, jardin et maison: éclair de femme. Un mouvement de hanches, un vol de chevelure, quelques rides que nous aurons écrites ensemble, et je saurai d'où je suis.”
“L'été s'achève/ de quelle couleur est la saison nouvelle/ sinon d'espoir”
“Quiconque connaît un peu le coeur de l’homme, et qui a suivi sa marche dans la plus douce des passions, conviendra que la jouissance, c’est-à-dire l’accomplissement de tous les voeux, est la plus dangereuse épreuve de l’amour.”
“O mon pays si triste est la saison/ qu'il est venu le temps de se parler par signes”