“J'aimais les peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures populaires ; la littérature démodée, latin d'église, livres érotiques sans orthographe, romans de nos aïeules, contes de fées, petits livres de l'enfance, opéras vieux, refrains niais, rythmes naïfs.”

Arthur Rimbaud

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“Hacía ya mucho tiempo que me vanagloriaba de poseer todos los paisajes posibles, y que se me antojaban irrisorias todas las celebridades de la pintura y de la poesía moderna.Me gustaban las pinturas idiotas: adornos de puertas, decorados, telones de saltimbancos, emblemas, estampas populares; la literatura pasada de moda: latín de iglesia, libros eróticos ignorantes de la ortografía, novelas de nuestras abuelas, cuentos de hadas, libritos infantiles, viejas óperas, estribillos bobos, ritmos ingenuos.Soñaba con cruzadas, viajes de exploración cuya crónica no nos ha llegado, repúblicas sin historia, guerras de religión sofocadas, revoluciones de costumbres, desplazamientos de razas y continentes: creía en todos los encantamientos.”


“Elle est retrouvée!-Quoi? -l'Éternité.C'est la mer mêléeAu soleil.Je devins un opéra fabuleux : je vis que tous les êtres ont une fatalité de bonheur : l'action n'est pas la vie, mais une façon de gâcher quelque force, un énervement. La morale est la faiblesse du cerveau.À chaque être, plusieurs autres vies me semblaient dues. Ce monsieur ne sait pas ce qu'il fait : il est un ange.”


“Estendi cordas de campanário a campanário; guirlandas de janela a janela; correntes de ouro de estrela a estrela, e danço.”


“Je devrais avoir mon enfer pour la colère, mon enfer pour l'orgueil, - et l'enfer de la caresse; un concert d'enfers.”


“Mais vrai, j'ai trop pleuré. Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer: L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. O que ma quille éclate! O que j'aille à la mer!”


“Je dis qu'il faut être voyant, se faire voyant. Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens.”