“The train braked. Five-minute stop. The man got off. All very ordinary, of course. But still. Flore came back, passed by me. She touched my arm, returned to her seat. I could have ripped my arm off. You don't need two arms. One good arm, fine, and the other one, the one she'd just touched, in formaldehyde. On the mantelpiece. In my big apartment. When she leaves me.”
“... while Anne smiled at me with a smile like a caress, and, as we went on up, I surrendered to it, which evoked this other sensation, that I was tripping over the edge, gently but swiftly, like when you fall in a dream, and the world goes with you, you're connected to the world and you take it with you as you fall, wholly accepting the vertiginous abandon.”
“It left me with an unpleasant feeling as if I had traveled and gone nowhere, and the whole journey was reduced to this impression of pointlessness.”
“I almost touch her on the arm as she touched me on the arm, to console her. But I fear that my touch won't tingle her arm as hers tingled mine, and how unbearably sad that would be.”
“Let me explain it to you then. I just had a beautiful girl trust me enough to touch her and see her in a way no one else ever has. I got to hold her and watch her and feel her as she came apart in my arms. It was like nothing else I'd ever experienced. She was breathtaking and she was responding to me. She wanted me. I was the one making her spiral out of control.”
“Il etait plutot fin, donc, le sable, delie, ne s'agglomerait pas, c'etait de la pierre, en fait, de la pierre pilee, rien a voir ou presque avec la poussiere, c'est ce que je veux dire. Mais plus maintenant. C'est que ca vole, quand meme, le sable. Et il volait, la, sous les pieds des enfants, et partout ca retombait, et pour la premiere fois j'ai vu la plage comme une grande plage de poussiere. Je dis grande parce que j n'avais jamais vu autant de poussiere, meme chez moi, apres le depart de Constance. Et j'ai forcement pense a Laura, mais ce n'est pas ca, je n'ai pas eu a y penser, bien sur, j'y pensais, je ne faisais que ca, mais j'y pensais avec recul, enfin j'essayais, parce que le moins qu'on puisse dire c'est que j'avais besoin de distance, sauf que je n'arrivais pas a' en prendre, de la distance, je souffrais, c'est egalement le moins qu'on puisse dire, et le seul resultat de mes efforts c'etait ca: penser que je m'etais trompe, que Laura en fin de compte n'avait jamais convenu, depuis le debut, ni pour le menage, ni comme femme, donc, comme femme susceptible d'apporter un peu d'order, dans ma vie, et alors j'en trouvais la verfication maintenant, sur le sable, ce sable que je n'avais jamais aime, au fond, pas plus que la poussiere, ou Laura me laissait, jusqu'a la mordre. Et j'ai vu que le gens s'y couchaient, dans ce sable, que n'etait plus que poussiere, maintenant, et je me suis dit je suis comme eux, a cette difference pres qu'ils sont beaucoup plus forts, eux. Parce qu'ils s'entrainen, en fait. A y retourner, donc. A la poussiere, oui. Je pensais ca aussi parce que je me sentais mort, bien sur, mais tout de meme. Et je le pensais encore parce que j n'etais pas pret, moi. Je me sentais mort depuis deux minutes, seulement. Mort, mais supris.”
“Charlee has my arm. She has my arm—my arm that’s rigid from pleasure, from her touch—in her little fingers. She holds my other one, too and she’s right there, that sweet candy perfume stripping the rest of the strength from my body, and it escapes in a soft, breathy sigh.”