“Changez de paysages, de visages, de climats. Partir rafraîchit l'esprit autant que le moral; voyager radoucit, soulage, regénère. Quelle joie de partir pour une destination inconnue, sans contraintes ni devoirs, avec un menu bagage et l'univers pour soi!”

Dominique Loreau
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“Tant que les gens voyageront encore dans de lointains villages retirés où ils trouveront une petite chambre pour passer la nuit, tant qu'ils auront plaisir à se contenter de transports en commun et des vendeurs des qutre saisons, ils trouveront du réconfort dans de petites choses. Alexandra David-Néel, Lampe de sagesse (tirée du livre L'Art de la simplicité.”


“Partir pour le pôle intérieur de soi-même.”


“La menace qui pèse sur nous est-elle vraiment la pénurie de biens de base ? La richesse continue-t-elle à être exclusivement issue de biens matériels, ne vient-elle pas également du niveau de savoir et de culture ? Il faut oser dire que nous ne sommes pas en pénurie de biens matériels, que notre société n'est pas globalement en manque de produits de base, mais qu c'est bien plutôt la répartition sur l'ensemble de la population de ces biens et services qui fait problème ; que notre société se fissure et s'atomise et que les fonctions de cohésion sociale et de solidarité s'amenuisent sans que rien mesure leur déclin. Dès lors, si nous ne manquons pas de biens matériels, si nos besoins sont certes matériels, mais aussi sociaux, culturels, relationnels, si nos maux viennent d'une mauvaise répartition des biens, si nos besoins sont de mettre en valeur autrement nos patrimoines et nos talents, faut-il conserver le même indicateur grossier qui s'imposait au sortir de la guerre ?”


“[...] la foi, l'acte de croire à des mythes, des idéologies ou des légendes surnaturels, est la conséquence de la biologie. [...] Il est dans notre nature de survivre. La foi est une réponse instinctive à des aspects de l'existence que nous ne pouvons expliquer autrement, que ce soit le vide moral que nous percevons dans l'univers, la certitude de la mort, le mystère des origines, le sens de notre propre vie ou son absence de sens. Ce sont des aspects élémentaires et d'une extraordinaire simplicité, mais nos propres limitations nous empêchent de donner des réponses sans équivoque à ces questions et, pour cette raison, nous générons pour nous défendre une réponse émotionnelle. C'est de la pure et simple biologie. [...] Toute interprétation ou observation de la réalité l'est par nécessité. En l’occurrence, le problème réside dans le fait que l'homme est un animal moral abandonné dans un monde amoral, condamné à une existence finie et sans autre signification que de perpétuer le cycle naturel de l'espèce. Il est impossible de survivre dans un état prolongé de réalité, au moins pour un être humain.”


“La vie est un brouillon finalement. Chaque histoire est le brouillon de la prochaine, on rature, on rature, et quand c'est à peu près propre et sans coquilles, c'est fini, on n'a plus qu'à partir, c'est pour ça que la vie est longue. Rien de grave”


“si les Américains s'étaient donné autant de mal pour le désarmement que pour envoyer un pauvre type sur la lune, ou coller des rayures roses dans le dentifrice, on l'aurait depuis longtemps, le désarmement. (...) le plus grand péché de l'Occident était de croire qu'il pouvait foutre en l'air le système soviétique par une surenchère dans la course aux armements, parce que dans ce cas-là, on jouait avec le destin de l'humanité. Et qu'en mettant sabre au clair, l'Ouest avait fourni un bon prétexte aux dirigeants soviétiques pour garder leur rideau baissé et instituer un État militaire. (chapitre 4)”