“...tout compte fait, je crois que mon tort était de ne pas avoir eu le courage de mes convictions. Je pouvais me trouver toutes les excuses du monde, aucune d'elles ne me donnerait raison. En réalité maintenant que j'avais perdu la face , je me cherchais un masque. Pareil à un défiguré, je me cachais derrière mes pansements qui me servaient aussi de moucharabiehs. Je regardais en cachette la vérité des autres, en abusais pour distancer la mienne”