“Oui, c'est votre idée, à vous tous, les ouvriers français, déterrer un trésor, pour le manger seul ensuite, dans un coin d'égoïsme et de fainéantise. Vous avez beau crier contre les riches, le courage vous manque de rendre aux pauvres l'argent que la fortune vous envoie... Jamais vous ne serez dignes du bonheur, tant que vous aurez quelque chose à vous, et que votre haine des bourgeois viendra uniquement de votre besoin enragé d'être des bourgeois à leur place.”
“Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l’avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise.”
“Le soleil mentait, quand il se couchait si doux et si calme, au milieu de la grande sérénité du soir.”
“Il y avait des hommes si ambitieux qu'ils auraient torché les chefs, pour les entendre seulement dire merci.”
“Crever pour crever, je préfère crever de passion que de crever d'ennui !”
“In cima alla via Guénégaud, venendo dalla strada lungo la Senna, si trova il passaggio del Ponte Nuovo, una specie di corridoio stretto e oscuro che va dalla via Mazarino alla via della Senna. Quel passaggio ha, al massimo, trenta passi di lunghezza e due di larghezza; è selciato di pietre giallastre, consunte, sconnesse, che trasudano sempre un'acre umidità; la vetrata che lo ricopre, tagliata ad angolo retto, è nera di sporcizia.Nei bei giorni d'estate, quando un ardente sole incendia le vie, un chiarore biancastro cade dai vetri sporchi e si trascina miseramente nel passaggio. Nei brutti giorni d'inverno, nelle mattinate di nebbia, i vetri gettano soltanto oscurità sulle pietre viscide, oscurità sporca e ignobile.”