“Existen distintas clases de libros. Muchos hay que ni siquiera se los abre; y pocos que se copian en los muros.”

Guy Debord

Explore This Quote Further

Quote by Guy Debord: “Existen distintas clases de libros. Muchos hay q… - Image 1

Similar quotes

“Partout où il y a représentation indépendante, le spectacle se reconstitue.”


“Les pseudo-événements qui se pressent dans la dramatisation spectaculaire n'ont pas été vécus par ceux qui en sont informés ; et de plus ils se perdent dans l'inflation de leur remplacement précipité, à chaque pulsion de la machinerie spectaulaire. D'autre part, ce qui a été réellement vécu est sans relation avec le temps irréversible officiel de la société, et en opposition directe au rythme pseudo-cyclique du sous-produit consommable de ce temps. Ce vécu individuel de la vie quotidienne séparée reste sans langage, sans concept, sans accès critique à son propre passé qui n'est consigné nulle part. Il ne se communique pas. Il est incompris et oublié au profit de la fausse mémoire spectaculaire du non-mémorable.”


“Les force qu'elle a déchaînées suppriment la nécessité economique qui a été la base immuable des sociétés anciennes. Quand elle la remplace par la nécessité du développement economique infini, elle ne peut que remplacer la satisfatction des premiers besoins humains sommairement reconnus, par une fabrication ininterrompue de pseudo-besoins qui se ramènent au seul pseudo-besoin du maintien de son règne.”


“Le spectacle est le mauvais rêve de la société moderne enchaînée, qui n'exprime finalement que son désir de dormir. Le spectacle est le gardien de ce sommeil.”


“Y todavía los que no murieron bajo las chozas ni se rajaron los huesos bajo los árboles ni se desangraron bajo las cuevas, ciegos de miedo y de ira acabaron despedazándose entre sí. Los pocos que no sufrieron quebranto, como recuerdo de la simpleza de sus corazones, se transformaron en monos.”


“Il est le soleil qui ne se couche jamais sur l'empire de la passivité moderne. Il recouvre toute la surface du monde et baigne indéfiniment dans sa propre gloire.”