“jeunes, insolents, libres, vrais, puissants, et anonymes et vous avez de la chance car si on sort de notre anonymat on sera pire que Nelson Mandela et on vous fera souffrir encore plus. 1. Arrêtez votre censure - 2. Arrêtez votre répression policière 3. Arrêtez votre injustice. Mais vous savez quoi? nous jeunes tunisiens on vous niquera quand même bande d'enculés de vieux pervers, on attends votre gouvernement pour lui pisser dessus. Sucez nous comme vous avez sucé Ben Ali! Vous aimez ça vieux cons.”

Hamza wolf

Hamza wolf - “jeunes, insolents, libres, vrais...” 1

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“Ensuite, la peur se tourne vers votre corps, qui sent déjà que quelque chose de terrible et de mauvais est entrain de survenir. Déjà, votre souffle s'est envolé comme un oiseau et votre cran a fui en rampant comme un serpent. Maintenant, vous avez la langue qui s'affale comme un opossum, tandis que votre mâchoire commence à galoper sur place. Vos oreilles n'entendent plus. Vos muscles se mettent à trembler comme si vous aviez la malaria et vos genoux à frémir comme si vous dansiez. Votre coeur pompe follement, tandis que votre sphincter se relâche. Il en va ainsi de tout le reste de votre corps. Chaque partie de vous, à sa manière, perd ses moyens. Il n'y a que vos yeux à bien fonctionner. Ils prêtent toujours pleine attention à la peur.Vous prenez rapidement des décisions irréfléchies. Vous abandonnez vos derniers alliés: l'espoir et la confiance. Voilà que vous vous êtes défait vous-même. La peur, qui n'est qu'une impression, a triomphé de vous.Cette expérience est difficile à exprimer. Car la peur, la véritable peur, celle qui vous ébranle jusqu'au plus profond de vous, celle que vous ressentez au moment où vous êtes face à votre destin final, se blottit insidieusement dans votre mémoire, comme une gangrène: elle cherche à tout pourrir, même les mots pour parler d'elle. Vous devez donc vous battre très fort pour l'appeler par son nom. Il faut que vous luttiez durement pour braquer la lumière des mots sur elle. Car si vous ne le faites pas, si la peur devient une noirceur indicible que vous évitez, que vous parvenez peut-être même à oublier, vous vous exposez à d'autres attaques de peur parce que vous n'aurez jamais vraiment bataillé contre l'ennemi qui vous a défait.”

Yann Martel
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“Comment oublier le monde? Peut-on chercher le bonheur quand tout parle de destruction? Le monde est jaloux, il vient vous prendre, il vient vous retrouver là où vous êtes, au fond d'un ravin, il fait entendre sa rumeur de peur et de haine, il mêle sa violence à tout ce qui vous entoure, il transforme la lumière, la mer, le vent, même les cris des oiseaux. Le monde est dans votre coeur alors, sa douleur vous réveille de votre rêve et vous découvrez que la terre même où vous avez voulu créer votre royaume vous expulse et vous jette à la mer.”

Le Clézio
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“Ne m'interrompez point, mes enfants! je pense donc que vous- savez quinous sommes.Quand nos pères, irrités de la cruauté de leurs maîtres, quittèrent la Grèce et vinrents'établir ici, dans le ressentiment des outrages qu'ils avaient reçus de leurs patrons, la première loi qu'ils y firent fut d'ôter la vie à tous les maîtres que le hasard ou lenaufrage conduirait dans leur île, et conséquemment de rendre la liberté à tous les esclaves: la vengeance avait dicté cette loi; vingt ans après la raison l'abolit, et en dicta une plus douce. Nous ne nous vengeons plus de vous, nous vous corrigeons; ce n'est plus votre vie que nous poursuivons, c'est la barbarie de vos coeurs que nousvoulons détruire; nous vous jetons dans l'esclavage pour vous rendre sensibles aux maux qu'on y éprouve; nous vous humilions, afin que, nous trouvant superbes, vous vous reprochiez de l'avoir été. Votre esclavage, ou plutôt votre cours d'humanité, dure trois ans, au bout desquels on vous renvoie, si vos maîtres sont contents de vos progrès; et si vous ne devenez pas meilleurs, nous vous retenons par charité pour les nouveaux malheureux que vous iriez faire encore ailleurs; et par bonté pour vous,nous vous marions avec une de nos citoyennes. Ce sont là nos lois à cet égard, mettez à profit leur rigueur salutaire. Remerciez le sort qui vous conduit ici; il vous remet en nos mains durs, injustes et superbes; vous voilà en mauvais état, nous entreprenons de vous guérir; vous êtes moins nos esclaves que nos malades, et nous ne prenons que trois ans pour vous rendre sains; c'est-à-dire, humains, raisonnables et généreux pour toute votre vie.”

Pierre Marivaux
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“A Mademoiselle Oui, femmes, quoi qu'on puisse dire,Vous avez le fatal pouvoirDe nous jeter par un sourire Dans l'ivresse ou le désespoir. Oui, deux mots, le silence même,Un regard distrait ou moqueur,Peuvent donner à qui vous aimeUn coup de poignard dans le coeur. Oui, votre orgueil doit être immense,Car, grâce à notre lâcheté,Rien n'égale votre puissance,Sinon votre fragilité. Mais toute puissance sur terreMeurt quand l'abus en est trop grand,Et qui sait souffrir et se taireS'éloigne de vous en pleurant. Quel que soit le mal qu'il endure,Son triste rôle est le plus beau.J'aime encore mieux notre tortureQue votre métier de bourreau.”

Alfred De Musset
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“Oui, c'est votre idée, à vous tous, les ouvriers français, déterrer un trésor, pour le manger seul ensuite, dans un coin d'égoïsme et de fainéantise. Vous avez beau crier contre les riches, le courage vous manque de rendre aux pauvres l'argent que la fortune vous envoie... Jamais vous ne serez dignes du bonheur, tant que vous aurez quelque chose à vous, et que votre haine des bourgeois viendra uniquement de votre besoin enragé d'être des bourgeois à leur place.”

Émile Zola
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