“Vi sono Parigi certe vie disonorate quanto può esserlo un uomo macchiato d'infamia; ed esistono vie nobili, e vie semplicemente oneste, e giovani vie sulla cui moralità il pubblico non si è ancora pronunciato; vi sono vie assassine, vie più vecchie di quanto non sia vecchia una vecchia matrona, vie stimabili, vie sempre pulite, vie sempre sporche, vie operaie, lavoratrici, mercantili. Insomma, le vie di Parigi hanno qualità umane, ed imprimono in noi con la loro fisionomia certe idee da cui non possiamo difenderci.”
“La vie ne vaut rien, mais rien vaut la vie...”
“Il ne faut pas avoir peur de regarder les choses en face. La vie est le résultat de la malpropreté. Si la nature avait été bien tenue, la vie ne serait jamais apparue. La vie est née de quelques vagues saletés au fond d'une flaque d'eau boueuse. La vie, donc l'homme. Il n'y a vraiment pas de quoi être fier.”
“La vie est un mystère qu'il faut vivre, et non un problème à résoudre.”
“-Je pense qu'on doit aimer la vie par-dessus tout.-Aimer la vie, plutôt que le sens de la vie?-Certainement. L'aimer avant de raisonner, sans logique, comme tu dis; alors seulement on en comprendra le sens.”
“L'homme ne peut jamais savoir ce qu'il faut vouloir car il n'a qu'une vie et il ne peut ni la comparer à des vies antérieures ni la rectifier dans des vies ultérieures. (...) Il n'existe aucun moyen de vérifier quelle décision est la bonne car il n'existe aucune comparaison. Tout est vécu tout de suite pour la première fois et sans préparation. Comme si un acteur entrait en scène sans avoir jamais répété. Mais que peut valoir la vie, si la première répétition de la vie est déjà la vie même ? C'est ce qui fait que la vie ressemble toujours à une esquisse. Mais même "esquisse" n'est pas le mot juste, car une esquisse est toujours l'ébauche de quelque chose, la préparation d'un tableau, tandis que l'esquisse qu'est notre vie est une esquisse de rien, une ébauche sans tableau. (partie I, ch. 3)”