“Adieu, mes amis. Je vais à la gloire.Farewell my friends. I go to glory.Isadora Duncan's last words before her scarf caught in a car wheel, breaking her neck.”

“Moi qui éprouve, comme chacun, le besoin d’être reconnu, je me sens pur en toi et vais à toi. J’ai besoin d’aller là où je suis pur. Ce ne sont point mes formules ni mes démarches qui t’ont jamais instruit sur qui je suis. C’est l’acceptation de qui je suis qui t’a fait, au besoin, indulgent à ces démarches comme à ces formules. Je te sais gré de me recevoir tel que me voici. Qu’ai-je à faire d’un ami qui me juge ? Si j’accueille un ami à ma table, je le prie de s’asseoir, s’il boite, et ne lui demande pas de danser”

“I rushed off to Whitehall and assumed Aidan would head back to Astor. But when I turned around briefly, I saw Aidan uncoiling her black scarf from around her neck. She held each end of the scarf above her head, the silk capturing the wind, arching above her like a parachute. Aidan released one end, kiting the scarf. The wind swirled around her for a moment before Aidan let go completely. She was an excellent student. The light silk caught a thermal and rose, sailing above the water. A dark black bird against the blue sky.”

“Et je vous avertis, mes amis, la langue française est vieux jeu : il faut d'abord l'épouser pour espérer la baiser.”

“Je préfère la vie à la mort, exister à ne pas exister, car je ne suis pas sûr d'être une fois que je n'existerai plus”

“-Je suis très heureux que tu sois là, dis-je avec le sentiment que mes mots n'étaient pas à la hauteur.”