“La gente aguantaba que les mordiera un lobo pero lo que verdaderamente les sacaba de quicio era que les mordiera una oveja.”

“...cambiar los simulacros no es lo que les importa; es sólo un síntoma de lo que verdaderamente les importa— Tori toma mi mano y la presiona entre sus palmas. —Piénsalo —dice— estas personas te enseñaron a usar un arma. Te enseñaron cómo luchar. ¿Crees que están por encima de lastimarte? ¿Por encima de matarte?”

“A quienes me preguntan la razón de mis viajes les contesto que sé bien de qué huyo pero ignoro lo que busco”

“Maintenant tu n'as plus de refuges. Tu as peur, tu attends que tout s'arrête, la pluie, les heures, le flot des voitures, la vie, les hommes, le monde, que tout s'écroule, les murailles, les tours, les planchers et les plafonds; que les hommes et les femmes, les vieillards et les enfants, les chiens, les chevaux, les oiseaux, un à un, tombent à terre, paralysés, pestiférés, épileptiques; que le marbre s'effrite, que le bois se pulvérise, que les maisons s'abattent en silence, que les pluies diluviennes dissolvent les peintures, disjoignent les chevilles des armoires centenaires, déchiquettent les tissus, fassent fondre l'encre des journaux; q'un feu sans flammes ronge les marches des escaliers; que les rues s'effondrent en leur exact milieu, découvrant le labyrinthe béant des égouts; que la rouille et la brume envahissent la ville.”

“-¿Con la fantasía?-preguntó Esther-. ¿Qué es una fantasía?, ¿lo mismo que una ilusión?-No precisamente, la fantasía es algo que existe, pero a muchos les parece que no. Con la ilusión ocurre lo contrario, es aquello que no existe, pero muchos creen que sí- le contesta Drágor detalladamente.”

“C'est que les rats meurent dans la rue et les hommes dans leur chambre. Et les journaux ne s'occupent que de la rue.”