“En vivant votre misère, vous pouvez être malheureuse ou heureuse. C'est dans ce choix que consiste votre liberté. Vous êtes libre de fondre votre individualité dans la marmite de la multitude avec un sentiment de défaite, ou bien avec euphorie. (...) notre seule liberté est de choisir entre l'amertume et le plaisir. L'insignifiance de tout étant notre lot, il ne faut pas la porter comme une tare, mais savoir s'en réjouir. (ch. 43)”