“les gens changent tellement qu'il ya toujours du nouveau à observer.”
“Quand on vit aux cotés des gens on ne se rend pas vraiment compte qu'ils changent, et c'est comme cela qu'on finit par les perdre.”
“Il gît, terrassé par ce qui transporte les autres, tellement éloigné de lui-même qu'il prend pour du désespoir ce qui n'est que de l'extase.”
“«Sophie, s'exclama à nouveau Bruno, sais-tu ce que Nietzsche a écrit de Shakespeare? "Ce que cet homme a dû souffrir pour éprouver un tel besoin de faire le pitre!..." Shakespeare m'a toujours paru un auteur surfait; mais c'est, en effet, un pitre considérable.» II s'interrompit, prit conscience avec surprise qu'il commençait réellement à souffrir. Les femmes, parfois, étaient tellement gentilles; elles répondaient à l'agressivité par la compréhension, au cynisme par la douceur. Quel homme se serait comporté ainsi?”
“Les gens se leurrent, déclara-t-il comme s'il ne voyait pas où elle voulait en venir. Ils ont tellement soif d'amour qu'ils passent leur vie à le chercher. Quand ils croient l'avoir trouvé, ils se persuadent d'avoir mis la main sur un joyau dont les autres ont été assez stupides pour ne pas voir la valeur.”
“Les défauts de l'âme sont comme les blessures du corps: quelque soin qu'on prenne de les guérir, la cicatrice paraît toujours, et elles sont à tout moment en danger de se rouvrir.”