“Résumons en quatre mots le pacte social des deux états. Vous avez besoin de moi, car je suis riche et vous êtes pauvre ; faisons donc un accord entre nous : je permettrai que vous ayez l'honneur de me servir, à condition que vous me donnerez le peu qui vous reste pour la peine que je prendrai de vous commander.”
“Chère Marika,Le vieux Volks n'est pas là, et moi non plus, mais vous pouvez entrer quand même. Ça me réjouirait le coeur de savoir que vous êtes entrée, que vous avez bu du café ou du chocolat et mangé des biscuits, assise à ma place ou encore debout en regardant par la fenêtre. Simplement de savoir que vous êtes venue, je serais heureux. Même sans vous voir. A bientôt.Votre voisin, Jim”
“Moi je me marre et je suis pauvre, vous vous emmerdez et vous êtes riche.”
“Le seul fait de rêver est déjà très important,Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir,Et l’envie furieuse d’en réaliser quelques- uns,Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer,Je vous souhaite d’oublier ce qu’il faut oublier,Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil,Je vous souhaite des rires d’enfants,Je vous souhaite des silences,Je vous souhaite de résister à l’enlisement,À l’indifférence, aux vertus négatives de notre époque.Je vous souhaite surtout d’être vous.”
“Je suis la source de toute vie. Je suis la marée qui entre en vous et vous aime et se retire. Je suis l'amour qui entre en vous et dure pour l'éternité.”
“Oui, c'est votre idée, à vous tous, les ouvriers français, déterrer un trésor, pour le manger seul ensuite, dans un coin d'égoïsme et de fainéantise. Vous avez beau crier contre les riches, le courage vous manque de rendre aux pauvres l'argent que la fortune vous envoie... Jamais vous ne serez dignes du bonheur, tant que vous aurez quelque chose à vous, et que votre haine des bourgeois viendra uniquement de votre besoin enragé d'être des bourgeois à leur place.”
“Si vous avez l’impression que vous êtes trop petit pour pouvoir changer quelque chose, essayez donc de dormir avec un moustique et vous verrez lequel des deux empêchera l’autre de dormir. ”