“- Tu es et tu resteras toujours une petite-bourgeoise moraliste. Comme Camus.- Tu es et tu resteras toujours un petit con prétencieux. Comme Sartre.”
“- Pourquoi me dis-tu ça ?- Parce que tu es mon fils et que je te connais comme si je t'avais fait.”
“Tu es comme l’odeur des roses (…) tu ôtes l’appétit.”
“Tu es mon voleur d'ombre, où que tu sois, je penserai toujours à toi.”
“Tiens, une ville qu'on traverse la nuit, et tout à coup tu dépasses la dernière maison, tu retombes dans le silence, comme dans le vide.”
“comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi!Que faut-il faire? Dit le petit prince.Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...”