“Alors c'est ça l'enfer. Je ne l'aurais jamais cru… Vous vous rappelez : le souffre, le bûcher, le gril.. Ah quelle plaisanterie. Pas besoin de gril, l'enfer c'est les autres.”
“C'est de l'amour, ou il n'en exista jamais: vous le niez bien de cent façons: mais vous le prouvez de mille.”
“L'enfer, c'est les autres.”
“Pourquoi donc comme avocat aurais-je besoin de lire Montesquieu? Je vous le demande, monsieur le chroniqueur. Parce que, bougre de connard, il y a dans les Lettres persanes cette intelligence du coeur qu'il n'y a pas dans le Code. Les Lettres ne feront pas de vous un meilleur avocat, mais assurément un meilleur homme. Ce n'est pas rien.”
“Peut-être que vous étiez allongé au lit, presque sur le point de vous endormir, et vous avez ri de quelque chose, une plaisanterie toute personnelle, une bonne façon de finir la journée. C'est ça, mon nom.”
“Oui, c'est votre idée, à vous tous, les ouvriers français, déterrer un trésor, pour le manger seul ensuite, dans un coin d'égoïsme et de fainéantise. Vous avez beau crier contre les riches, le courage vous manque de rendre aux pauvres l'argent que la fortune vous envoie... Jamais vous ne serez dignes du bonheur, tant que vous aurez quelque chose à vous, et que votre haine des bourgeois viendra uniquement de votre besoin enragé d'être des bourgeois à leur place.”