“Quand j'étais petite, je gardais les vaches; maintenant ce sont elles qui me gardent…”
"Quand j'étais petite, je gardais les vaches; maintenant ce sont elles qui me gardent…" - Jerrard Tickell
This quote reflects on the cyclical nature of life and how our roles and responsibilities can change over time.
In this quote by Jerrard Tickell, the speaker reflects on the role reversal that has taken place in their life. As a child, the speaker used to watch over the cows, but now, in their older age, it is the cows that provide comfort and solace. This quote speaks to the idea of finding unexpected sources of support and companionship in life, and highlights the importance of adapting to changing circumstances. It also suggests a sense of gratitude and humility towards nature and the creatures that inhabit it.
The quote "Quand j'étais petite, je gardais les vaches; maintenant ce sont elles qui me gardent…” by Jerrard Tickell reflects the concept of changing roles and finding meaning in new experiences. This sentiment can be interpreted in a modern context to highlight the significance of adapting to different circumstances and embracing personal growth.
Reflecting on this quote by Jerrard Tickell, consider the following questions:
“Parce que je me moque un petit brin de toi, cela empêche-t-il que je t'aime? Tu disais bien que tu m'aimais, toi, quand tu me faisais battre; est-ce que les étrivières sont plus honnêtes que les moqueries?”
“VoisineJe peux rester des après-midi entiers à regarder cette fille, caché derrière mon rideau. Je me demande ce qu'elle peut écrire sur son ordinateur. A quoi elle pense quand elle regarde par la fenêtre. Je me demande ce qu'elle mange, ce qu'elle utilise comme dentifrice, ce qu'elle écoute comme musique. Un jour, je l'ai vue danser toute seule. Je me demande si elle a des frères et sœurs, si elle met la radio quand elle se lève le matin, si elle préfère l'Espagne ou l'Italie, si elle garde son mouchoir en boule dans sa main quand elle pleure et si elle aime Thomas Bernhard. Je me demande comment elle dort et comment elle jouit. Je me demande comment est son corps de près. Je me demande si elle s'épile ou si au contraire elle a une grosse toison. Je me demande si elle lit des livres en anglais. Je me demande ce qui la fait rire, ce qui la met hors d'elle, ce qui la touche et si elle a du goût. Qu'est-ce qu'elle peut bien en penser, cette fille, de la hausse du baril de pétrole et des Farc, et que dans trente ans il n'y aura sans doute plus de gorilles dans les montagnes du Rwanda ? Je me demande à quoi elle pense quand je la vois fumer sur son canapé, et ce qu'elle fume comme cigarettes. Est-ce que ça lui pèse d'être seule ? Est-ce qu'elle a un homme dans sa vie ? Et si c'est le cas, pourquoi c'est elle qui va toujours chez lui ? Pourquoi il n'y a jamais d'homme chez elle ? Je me demande comment elle se voit dans vingt ans. Je me demande quel sens elle donne à sa vie. Qu'est-ce qu'elle pense de sa vie quand elle est comme ça, toute seule, chez elle ? Si ça se trouve, elle n'a aucun intérêt, cette fille.”
“Les choses sont ce qu'elles sont et elles seront ce qu'elles seront.”
“Don Juan : [...] Les voilà, mes spectres, les spectres de ce que je ne suis pas. Ce sont eux qui me persécutent et m'écoeurent, et qui me survivront. Ils vivront, car il sont le mensonge. Mais si je dois payer ma vie au prix de toutes les sottises et de tous les mensonges qu'on aura dits sur moi, peut-être vaudrait-il mieux n'avoir pas vécu. Je vais changer d'habit et mettre mon beau costume. Il faut être bien vêtu quand on va être arrêté.”
“Les romans sont la nourriture du cœur. Ce sont les lampes qui illuminent les ténèbres, la joie qui surpasse l’amour.”