“Trente chevaux sur une colline rouge; D'abord ils mâchonnent,Puis ils frappent leur marque,Ensuite ils restent immobiles.(Les dents)”
“Non vedi laggiù la stretta viaCosì angusta, circondata da spine e da rovi?E' il sentiero della Virtù,Sebbene così pochi lo ricerchino.E non vedi laggiù quell'ampia, ampia strada,Che si snoda attraverso il campo di gigli?E' il sentiero della Malvagità,Sebbene alcuni lo chiamino la Via del Paradiso.E non vedi laggiù un grazioso viottoloChe serpeggia sull'erta tra le felci?E' il sentiero verso la magica Terra degli ElfiDove tu e io questa notte avremo riposo.”
“On ne peut la voir, on ne peut la sentir,On ne peut l'entendre, on ne peut la respirer.Elle s'étend derrière les étoiles et sous les collines.Elle remplit les trous vides.Elle vient d'abord et suit après.Elle termine la vie, tue le rire.(L'obscurité)”
“Méfie-toi, ma fille, tous les hommes de ce pays sont des monstres pour les femmes. Ils sont obsédés par les apparences, ils sont ligotés par les coutumes, ils sont rongés par Dieu, ils sont bouffés par leurs mères, ils sont taraudés par le fric, ils passent leur vie à offrir sur un plateau leur cul au bon Dieu, ils ouvrent leur braguette comme on arme une mitraillette, ils lâchent leur sexe sur les femmes, comme on lâche des pitbulls. Quels chiens !" (p.10)”
“Au lieu d'être immobile comme il convient à un pied embaumé depuis quatre mille ans, il s'agitait, se contractait et sautillait sur les papiers comme une grenouille effarée.”
“Evidently we look so much alike that your desire to make an incurable dent in my hat must be excused.”
“Ces gens-là, la minute d’avant, ne savent pas s’ils vous égorgeront ou non, et puis, une fois qu’ils tiennent un couteau entre leurs mains tremblantes, et qu’ils sentent le premier jet de sang sur leurs doigts, il ne leur suffit plus de vous égorger, il faut qu’ils vous coupent la tête, tout net : « houp ! » comme disent les forçats. C’est bien cela !”