“Les souvenirs sont des îles qui flottent dans l’océan de l’oubli.”

Katarina Hagena

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“Ils auraient dû descendre le premier psychologue, comme ça on aurait eu moins de problèmes”


“Immer wenn ich schwamm, fühlte ich mich in Sicherheit. Der Boden unter meinen Füßen konnte nicht weggezogen werden. Er konnte nicht brechen, nicht einsinken oder wegrutschen, weder sich auftun noch mich verschlingen. Ich stieß nicht gegen Dinge, die ich nicht sehen konnte, trat nicht versehentlich auf etwas, verletzte weder mich noch andere. Wasser war einschätzbar, es blieb immer gleich. Gut, mal war es klar, mal schwarz, mal kalt, mal warm, mal ruhig, mal bewegt, aber es blieb in seiner Beschaffenheit, wenn auch nicht in seinen Aggregatzuständen, immer gleich, war Wasser. Und Schwimmen, das war Fliegen für Feiglinge. Schweben ohne Absturzgefahr. Ich schwamm nicht besonders schön – mein Beinschlag war asymmetrisch – , aber zügig und sicher, und wenn es sein musste, auch stundenlang. Ich liebte den Moment des Verlassens der Erde, den Elementenwechsel, und ich liebte den Moment des Michverlassens darauf, dass das Wasser mich trug. Und, anders als Erde und Luft, tat es das ja auch. Vorausgesetzt, man schwamm.(S. 87)”


“Chacun s'exalte pour des religions qui lui promettent cette plénitude. Tous, sous les mots contradictoires, nous exprimons les mêmes élans. Nous nous divisons sur des méthodes qui sont les fruits de nos raisonnements, non sur les buts: ils sont les mêmes.”


“Les gens qui ont besoin de plus qu une valise ne sont pas de vrais voyageurs, ce sont des touristes.”


“Das Gehirn versandete wie ein unbefestigtes Flussbett. Erst bröckelte es nur ein bisschen vom Rand, dann klatschten große Stücke des Ufers ins Wasser. Der Fluss verlor seine Form und Strömung, seine Selbstverständlichkeit. Schließlich floss gar nichts mehr, sondern schwappte nur hilflos nach allen Seiten. Weiße Ablagerungen im Gehirn ließen die elektrischen Ladungen nicht durch, alle Enden wurden isoliert, und am Ende auch der Mensch; Isolation, Insel, Gerinnsel, England, Elektronen und Tante Ingas Bernsteinreifen, Harz wurde hart im Wasser, Wasser wurde hart, wenn der Frost klirrte, Glas war aus Silizium, und Silizium war Sand, und Sand rieselte durch die Eieruhr, und ich sollte jetzt schlafen, es wurde langsam Zeit. (S. 78f.)”


“Combien de gens exercent-ils le travail de leur choix ? Certains scientifiques, artistes, quelques travailleurs très qualifiés ou certaines professions libérales ont peut-être cette satisfaction, mais la plupart des gens ne sont pas libres de choisir leur activité. C'est la nécessité économique qui les y oblige. C'est pourquoi on peut parler de "travail aliéné". En outre, la plupart des travailleurs produisent des biens et des services destinés à devenir des marchandises qu'ils n'ont pas eux-mêmes choisi de produire et qui appartiennent à un autre : le capitaliste qui les emploie. Les travailleurs sont donc, en outre, parfaitement étrangers au produit de leur labeur. Le travail s'effectue dans des conditions industrielles modernes qui privilégient la concurrence plutôt que la collaboration et l'isolement plutôt que l'association. Les travailleurs sont donc également étrangers les uns aux autres. Concentrés dans les villes et les usines, ils sont pour finir étrangers à la nature.”