“C'est dans ma neuvième année que j'ai appris le hollandais. A cette époque-là, j'avais un papa, un chic type dans mon genre, qui voulait que ses enfants réussissent dans la vie. Lui n'avait pas beaucoup travaillé à l'école ; ce qui ne l'empêchait pas, tous les étés, de nous acheter à ma sœur Christine et à moi des "cahiers de vacances". Le lundi soir, elle avait déjà fait son cahier jusqu'au jeudi. Moi, je n'ai jamais pu terminer le mien.”