“Il y a autant de mondes différents qu'il y a de vies dans l'univers ; mon monde à moi a commencé le jour où tu es né, au moment où je t'ai tenu dans mes bras.”

Marc Levy

Marc Levy - “Il y a autant de mondes différents qu'il y...” 1

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“Tant que mes jambes me permettent de fuir, tant que mes bras me permettent de combattre, tant que l'expérience que j'ai du monde me permet de savoir ce que je peux craindre ou désirer, nulle crainte : je puis agir. Mais lorsque le monde des hommes me contraint à observer ses lois, lorsque mon désir brise son front contre le monde des interdits, lorsque mes mains et mes jambes se trouvent emprisonnées dans les fers implacables des préjugés et des cultures, alors je frissonne, je gémis et je pleure. Espace, je t'ai perdu et je rentre en moi-même. Je m'enferme au faite de mon clocher où, la tête dans les nuages, je fabrique l'art, la science et la folie.”

Henri Laborit
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“J'ai compris que mon père avait vécu dans un monde où le mystère est divin, et moi dans un monde où le mystère est humain.”

Monique LaRue
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“Le jour où je me suis aimé pour de vrai,J’ai compris qu'en toutes circonstances,J’étais à la bonne place, au bon moment.Et alors, j'ai pu me relaxer.Aujourd'hui je sais que cela s'appelle...l'Estime de soi.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,J’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelleN’étaient rien d'autre qu'un signalLorsque je vais à l'encontre de mes convictions.Aujourd'hui je sais que cela s'appelle... l'Authenticité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,J'ai cessé de vouloir une vie différenteEt j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arriveContribue à ma croissance personnelle.Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... la Maturité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,J’ai commencé à percevoir l'abusDans le fait de forcer une situation ou une personne,Dans le seul but d'obtenir ce que je veux,Sachant très bien que ni la personne ni moi-mêmeNe sommes prêts et que ce n'est pas le moment...Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... le Respect.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,J’ai commencé à me libérer de tout ce qui n'était pas salutaire, personnes,situations, tout ce qui baissait mon énergie.Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme.Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... l'Amour propre.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,J’ai cessé d'avoir peur du temps libreEt j'ai arrêté de faire de grands plans,J’ai abandonné les méga-projets du futur.Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aimeQuand cela me plait et à mon rythme.Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... la Simplicité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,J’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.Aujourd'hui, j'ai découvert ... l'Humilité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,J’ai cessé de revivre le passéEt de me préoccuper de l'avenir.Aujourd'hui, je vis au présent,Là où toute la vie se passe.Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.Et cela s'appelle... la Plénitude.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.Mais si je la mets au service de mon coeur,Elle devient une alliée très précieuse !Tout ceci, c'est... le Savoir vivre.Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter.Du chaos naissent les étoiles.”

Charlie Chaplin
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“Je disais que le monde est absurde et j'allais trop vite. ce monde en lui-même n'est pas raisonnable, c'est tout ce qu'on en peut dire. Mais ce qui est absurde, c'est la confrontation de cet irrationnel et de ce désir éperdu de clarté dont l'appel résonne au plus profond de l'homme. L'absurde dépend autant de l'homme que du monde. Il est pour le moment leur seul lien. Il les scelle l'un à l'autre comme la haine seule peut river les êtres. C'est tout ce que je puis discerner clairement dans cet univers sans mesure où mon aventure se poursuit.”

Albert Camus
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“Parfois, tard dans ces nuits où la danse, l’alcool léger, mon déchaînement, le violent abandon de chacun, me jetaient dans un ravissement à la fois las et comblé, il me semblait, à l’extrémité de la fatigue, et l’espace d’une seconde, que je comprenais enfin le secret des êtres et du monde. Mais la fatigue disparaissait le lendemain et, avec elle, le secret; je m’élançais de nouveau.”

Albert Camus
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