“Je coulais un regard à George à moitié nu avec sa serviette de toilette puis à Barckley complètement nu avec son... Rien. Un vampire et un loup-garou. Je secouai la tête. C'était pourtant évident:j'avais encore fait l'un de ses rêves où j'étais Anita Blake”

Michelle Rowen

Michelle Rowen - “Je coulais un regard à George à moitié...” 1

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“- Si j'étais toi, j'arrêterais de mentir, lui conseillai-je. J'ai une longueur d'avance sur toi.- Ah vraiment ? Mais à quel point ?Son visage portait un masque de superiorité et de mépris. C'était évident. Il avait peur.- Tu n'as pas idée, répliquai-je avec un sourire.”

Sophie Cochin
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“Aujourd'hui encore, je ne puis voir sans plaisir un enfant trop sérieux parler gravement, tendrement à sa mère enfant; j'aime ces douces amitiés sauvages qui naissent loin des hommes et contre eux.Je regarde longuement ces couples puérils et puis je me rappelle que je suis un homme et je détourne la tête.”

Jean-Paul Sartre
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“J'ai fait ma première fugue à six ans, mais comme je n'avais pas le droit de traverser la rue, j'ai fait le tour du pâté de maisons et je me suis retrouvé à mon point de départ! C'était un piège! (Comment devenir un ange, p. 257)”

Jean Barbe
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“C'était un professeur magnifique et je n'ai jamais oublié la moue dédaigneuse de ses lèvres lorsqu'il récusait d'une seule phrase une de nos interprétations. Il me guérit à jamais du comparatisme le jour où, ayant à commenter à voix haute devant lui et mes condisciples un passage de Rabelais, j'évoquai stupidement Bergson, que j'avais à peine lu. Le dédain de sa célèbre moue se fit carrément dégoût: 'Mon petit, Rabelais ne connaissait pas Bergson.”

Claude Lanzmann
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“Moi qui prêchais la non-violence, moi qui n'avais jamais donné la moindre taloche à mes enfants, moi qui n'avais jamais répondu à l'injustice ou à l'autorité arbitraire que par du silence ou des pleurs! Moi, j'étais pétrie de violence, j'étais la violence même, la violence incarnée! ...Une fois de plus j'étais émerveillée par la belle et compliquée organisation de l'esprit des êtres humains. La rencontre avec ma violence est intervenue quand il le fallait. Je ne l'aurais pas supportée avant, je n'aurais pas été capable de l'assumer. ...Au cours de mon adolescence ma violence avait resurgi quelques fois. Mais je ne savais pas que c'était elle, je me croyais en proie à une crise de nerfs que je sentais monter dans ma gorge. Je m'enfermais alors dans un endroit, et, seule, honteusement, je déchirais mes vêtements ou je cassais un objet.”

Marie Cardinal
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