“Ali između sadašnjice i konačnog kraja prostire se Život. Nit mu je krenuo ususret, širom otvorivši ne samo oči nego i srce.”
“Nite, ti si živ. To znači da je tvoj potencijal bezgraničan. Možeš učiniti, stvoriti, sanjati što god poželiš. Ako ti promijeniš svijet, on će se doista promijeniti. To je potencijal. Čim umreš, potencijal nestaje. Gotovo je. Što si napravio, napravio si, svoj san si odsanjao, svoje ime ispisao. Možda te sahrane ovdje, možda čak postaneš jedan od onih koji hodaju i poslije smrti. Ali potencijala više neće biti.”
“Říká se, že příběhy o strašidlech jsou optimistické, protože věří v posmrtný život.”
“As-tu déjà été amoureux? C'est horrible non? Ca rend si vulnérable. Ca t'ouvre la poitrine et le coeur en grand et du coup, n'importe qui peut venir te bousiller de l'intérieur. On se forge des défenses, on se fabrique une belle armure pour que rien ne puisse jamais nous atteindre, et voilà qu'un imbécile, pas bien différent des autres s'immisce dans notre imbécile de vie... On lui offre un morceau de soi alors que l'autre n'a rien demandé. Il a juste fait un truc débile un jour, genre t'embrasser ou te sourire, mais, depuis, ta vie ne t'appartient plus. L'amour te prend en otage. Il s'insinue en toi. Il te dévore de l'intérieur et te laisse tout seul à chialer dans le noir, au point qu'un simple phrase comme "je crois qu'on devrait rester amis" te fait l'effet d'un éclat de verre qu'on t'aurait planté dans le coeur. Ca fait mal. Pas juste dans ton imagination. Pas juste dans ta tête. C'est une douleur à fendre l'âme, qui s'incruste en toi et te déchire du dedans. Je hais l'amour.”
“Smrtonosan je život, ali smrti odoleva.Jedna strašna bolest po meni će se zvati.Mnogo smo patili! I, evo, sad pevaPripitomljeni pakao. nek srce ne okleva,Isto je pevati i umirati.”
“Wy, ludzie, mówicie o życiu i śmierci, jakby to były dwie rzeczy wzajemnie się wykluczające, jakby nie istniała rzeka, będąca również drogą, czy pieśń, będąca kolorem.Bo nie istnieją - odparł Cień. - Prawda? Echa znad wody powtarzały szeptem jego słowa.Musisz pamiętać - rzekł cierpko pan Ibis że życie i śmierć to dwie strony tej samej monety, jak orzeł i reszka na ćwierćdolarówce.A gdybym miał ćwierćdolarówkę o dwóch orłach?Ale nie masz. Miewają je tylko głupcy i bogowie.”
“Decidió que si fuera un auténtico hombre de campo, le cortaría una costillas y las cocinaría en un hoguera improvisada. Sin embargo, se sentó en un tronco de árbol, se comió un Snickers y se dio cuenta de que no era un autentico hombre de campo.”