“Je suis partout où je suis.”
“Si je gagne, je suis un génie, si je perd, je suis fou.”
“Où tu veux, Camille, chuchota-t-il. J'irai où tu voudras. Je te suivrai partout, même dans les étoiles... Je veux juste que tu saches que vivre sans toi m'est impossible. Alors je t'en supplie, ne meurs plus, parce que sinon, moi, je vais mourir pour de bon... Parce que sans tes yeux, je suis aveugle. Sans tes mots, je me perds. Parce que sans toi, mon âme est nue. Sans toi, je ne suis rien... Parce que... je t'aime...”
“Je suis extrêmement ému. Pour faire diversion je demande où elle dîne. Et soudain cette légèreté que je n’ai vue qu’à elle, cette liberté peut-être précisément : "Où (le doigt tendu :) mais là, où là (les deux restaurants les plus proches), où je suis, voyons. C’est toujours ainsi. " Sur le point de m’en aller, je veux lui poser une question qui résume toutes les autres, une question qu’il n’y a que moi pour poser, sans doute : "Qui êtes-vous ? " Et elle, sans hésiter : "Je suis l’âme errante.”
“J'ai envie de partir, de m'en aller quelque part où je serais vraiment à ma place, où je m'emboîterais... Mais ma place n'est nulle part; je suis de trop.”
“Je ne suis pas son confident, je suis son spectateur. C'est plus sage.”