This quote by Pierre Corneille, a prominent French playwright, encapsulates a profound perspective on love and equality. The statement translates to "Love creates equalities and does not seek them," suggesting that love inherently fosters a sense of equality among individuals, regardless of their backgrounds or statuses.
At its core, the quote emphasizes that true love transcends societal divisions and superficial distinctions. It implies that love, in its purest form, unites people and diminishes the barriers created by inequality. When individuals love one another, they do not regard themselves as superior or inferior; rather, they relate to one another as equals, sharing a bond that elevates their connection beyond external factors.
Furthermore, the latter part of the quote — "and does not seek them" — implies that love is not contingent upon the pursuit of equality. It arises naturally and spontaneously, highlighting the idea that a genuine emotional connection does not depend on striving or striving for balance. This suggests that equality flourishes effortlessly in the presence of authentic love, reinforcing the notion that love is a powerful force that can harmonize differences without conscious effort.
Overall, Corneille's words resonate with universal themes of love, unity, and the intrinsic equality it promotes, offering a timeless reminder of the transformative power of love in human relationships.
“Pour grands que soient les rois, ils sont ce que nous sommes: Ils peuvent se tromper comme les autres hommes.”
“Va, je ne te hais point.”
“Je ne dois qu'à moi seul toute ma renommée."(L'Excuse à Ariste)”
“Ah! qu'avec peu d'effet on entend la raison,Quand le cœur est atteint d'un si charmant poison!Et lorsque le malade aime sa maladie,Qu'il a peine à souffrir que l'on y remédie!”
“Je n'aime pas dans les vieux films américains quand les conducteurs ne regardent pas la route.”
“J'ai toujours pris un plaisir extrême à penser, sans trop me soucier du tracé de la frontière entre l'imagination et la certitude. L'intérieur de ma tête comme un bordel dont je serai l'unique client d'un soir, l'habitué occasionnel. Pas si seul, car les pensées pensionnaires viennent au-devant de mes désirs : les nobles, cendrées et hautaines, les belles, toutes nues mais poudrées, les ingénues, les petites, les perverses, les noires, les folles, les honteuses. Et les vulgaires, et les très vulgaires, champagne, échancrure et langues qui s'agitent. "Mes pensées ce sont mes catins", comme c'est exact. Luxure mentale. Dehors, le froid. Et les autres, tous les autres, se tiennent dans ce froid. Proches et lointains. Et je les regarde, jumelles, fenêtres sur cou. Nous communiquons par interphones et répondeurs.”