“Lire un bon livre, ça redonne envie de vivre, ça vous donne envie de partir, A la recherche du temps perdu.”

Pierre Perret

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“Dans 1984, les livres sont plus ou moins interdits. Aujourd'hui le problème est réglé, pas la peine de les interdire: les gens n'ont plus vraiment envie de lire, de toute façon, ils savent de moins en moins lire, même le journal. ("La violence des casseroles", http://www.lapresse.ca/debats/chroniq...)”


“Lire est le seul moyen de vivre plusieurs fois.”


“Pourquoi donc comme avocat aurais-je besoin de lire Montesquieu? Je vous le demande, monsieur le chroniqueur. Parce que, bougre de connard, il y a dans les Lettres persanes cette intelligence du coeur qu'il n'y a pas dans le Code. Les Lettres ne feront pas de vous un meilleur avocat, mais assurément un meilleur homme. Ce n'est pas rien.”


“Si votre pensée s’élance dans l’espace et dans le temps ; si elle embrasse l’infinie simultanéité des faits qui se passent sur toute la surface de la terre, qui n’est qu’une planète tournant autour du soleil, – qui n’est lui-même qu’un centre particulier au milieu de l’espace ; si vous songez que cet infini simultané n’est qu’un instant de l’éternité, qui est un autre infini, que tout cela vous apparaît différemment, suivant le point de vue où vous vous placez, et qu’il y en a une infinité de points de vue ; si vous songez que la raison de tout cela, l’essence de toutes ces choses vous est inconnue, et si vous agitez dans votre esprit ces éternels problèmes, qu’est-ce que tout cela ? que suis-je moi-même au milieu de cet infini?”


“Je précise que je crois profondément à bien peu de choses, deux ou trois. La justice sociale, l’éducation, la subversion [...]. Je crois profondément que l’avenir de l’Homme et de sa fiancée ne se joue pas à la Bourse, à l’Université, dans un Parlement, dans un journal, dans un laboratoire de recherche. Je crois profondément que l’avenir de l’humanité se joue, chaque jour, dans la classe d’un prof de philo qui donne un cours sur le libre-arbitre à de futurs plombiers, de futurs flics, coiffeuses, infirmiers, informaticiennes et vendeurs de chars usagés. » (Pierre Foglia, éditorial, La Presse, 16 mai 1996)”


“Vivre d'un troupeau, c'est en grande partie le parasiter quelle que soit la préocupation qu'on ait de son bien-être. Nous sommes à la fois le législatif et l'exécutif. On ne peut enfermer des animaux dans une étreinte intéressée sans aller à l'encontre de leur nature. La démarche soucieuse de vivre avec et non de peut déjà atténuer l'arbitraire. Il s'agit alors de vivre des réciprocités. (p.238)”