“Est-ce en exemple que tu te proposes?Peut-on se remplir comme les roses,en multipliant sa subtile matièrequ'on avait faite pour ne rien faire?Car ce n'est pas travailler que d'êtreune rose, dirait-on.Dieu, en regardant par la fenêtre,fait la maison.”
In this quote by Rainer Maria Rilke, the speaker muses on the idea of being an example to others, and questions whether one can simply exist, like a rose, and still fulfill their purpose. The speaker reflects on the notion of productivity and work, suggesting that simply being, like a rose, is not enough. The comparison of human existence to that of a rose is thought-provoking, inviting readers to consider the essence of their own purpose and actions. Ultimately, the quote alludes to a deeper contemplation of God's role in creating and shaping our lives, suggesting that divine intervention is what truly builds our "house".
Rilke's contemplation on the nature of work and existence, using the metaphor of a rose, remains relevant in today's society where the concept of productivity and busyness often overshadow the value of simply "being". In a world driven by constant activity and the pursuit of success, Rilke's words serve as a reminder to appreciate the beauty in stillness and to find fulfillment in simply existing.
In this excerpt from the poetry of Rainer Maria Rilke, the speaker questions the idea of being able to simply exist and flourish like a rose, without the need for labor or effort. The contemplative tone invites readers to reflect on the nature of creation and the role of divine intervention in the process.
Reflecting on this quote by Rainer Maria Rilke, consider the following questions:
“Faire, et en faisant se faire et n'être rien que ce qu'on fait”
“on ne peut pas bien vivre en sachant que l'homme n'est rien et que la face de Dieu est affreuse.”
“Celui qui éprouve de l'aversion pour les danseurs et veut les dénigrer se heurtera toujours à un obstacle infranchissable : leur honnêteté ; car en s'exposant constamment au public, le danseur se condamne à être irréprochable ; il n'a pas conclu comme Faust un contrat avec le Diable, il l'a conclu avec l'Ange : il veut faire de sa vie une oeuvre d'art et c'est dans ce travail que l'Ange l'aide ; car, n'oublie pas, la danse est un art ! C'est dans cette obsession de voir en sa propre vie la matière d'une oeuvre d'art que se trouve la vraie essence du danseur ; il ne prêche pas la morale, il la danse ! Il veut émouvoir et éblouir le monde par la beauté de sa vie ! il est amoureux de sa vie comme un sculpteur peut être amoureux de la statue qu'il est en train de modeler." (chapitre 6)”
“Alors, Hermione, tu admires toujours autant Lockhart, maintenant? dit Ron à travers le rideau. Si Harry avait eu envie d'être transformé en mollusque, il l'aurait demandé.Tout le monde peut commettre des erreurs, répondit Hermione. D'ailleurs, ça ne te fait plus mal, n'est-ce-pas, Harry?Non, dit Harry. L'ennuie, c'est que ça ne me fait plus rien du tout.”
“Face à ces chiffres, comme on ne sait plus quoi faire, on fait n'importe quoi. Le 14 mars, le ministère de la Santé et du Travail augmente la dose maximale autorisée pour les travailleurs de la centrale de cent millisieverts pour cinq ans... à deux cent cinquante mille millisieverts par an ! C'est vrai, quoi, à quoi bon des normes si ce n'est pour les transgresser ? En avril, il fera encore mieux : il élèvera la dose maximale pour les enfants à vingt millisieverts par an... ce qui est tout simplement le taux maximum en France (et pour la Commission internationale de protection radiologique) auquel on peut exposer les travailleurs du nucléaire ! Le gouvernement fera ensuite machine arrière sous la pression des parents et de plusieurs associations, mais c'est dire le degré de cynisme que l'on peut atteindre pour défendre à tout prix la filière : considérer des gamins sans défense au même niveau que les spécialistes du nucléaire les plus exposés, il fallait le faire. ils l'ont fait. (p. 234)”