“Valentine clears his throat. "So. Why can't you just say it?" "Say what?" "You know what." "It's hardly the time or place." "It is if you're dying." "I can't." "You're a dick. Just fucking say it!" "I can't! I'm... English." "What am I, a Martian? I say it all the time. I know you love me, why can't you say it?" "If you know, then why do I have to?" "You're missing the point a bit." "I took your bullet, you little twat, don't you dare question whether I love you." "Yeah, but you could say it." The throb of the gunshots is pounding all down his arm and body. The pain's so bad he wants to cry, like he's five and he's skinned his knee coming off his bike. "Je t'aime," he says, through gritted teeth, to shut the kid up. "Je ne sais pas pourquoi. Tu es... complètement bête, tu t'habilles comme une pute travestie, je hais ta musique, tu es fou, tu me rends fou, mais je suis fou de toi et je pense à toi tout le temps et je t'aime, oui. Tu comprends? Je t'aime. Seulement... pas en anglais. Je ne peux pas." Valentine's shifting about like he's uncomfortable. "I ain't got no idea what you just said but I think I need to change my pants." "Maintenant, ta gueule.”

Richard Rider
Love Change Time Wisdom

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“Si tu ne m'aimes pas, je t'aimesi je t'aime, prends garde à toi!”


“Mais maintenant je dirai tout, afin que tu saches qui tu quittes, de quel homme tu te sépares. Sais-tu comment d’abord je t’ai comprise ? La passion m’a saisi comme le feu, elle s’est infiltrée dans mon sang comme le poison et a troublé toutes mes pensées, tous mes sentiments. J’étais enivré. J’étais comme étourdi, et à ton amour pur, miséricordieux, j’ai répondu non d’égal à égal, non comme si j’étais digne de ton amour, mais sans comprendre ni sentir. Je ne t’ai pas comprise. Je t’ai répondu comme à la femme qui, à mon point de vue, s’oubliait jusqu’à moi et non comme à celle qui voulait m’élever jusqu’à elle.« Sais-tu de quoi je t’ai soupçonnée, ce que signifiait, s’oublier jusqu’à moi » ? Mais non, je ne t’offenserai pas par mon aveu. Je te dirai seulement que tu t’es profondément trompée sur moi ! Jamais jamais, je n’aurais pu m’élever jusqu’à toi. Je ne pouvais que te contempler dans ton amour illimité, une fois que je t’eus comprise. Mais cela n’efface pas ma faute. Ma passion rehaussée par toi n’était pas l’amour. L’amour, je ne le craignais pas. Je n’osais pas t’aimer. Dans l’amour il y a réciprocité, égalité ; et j’en étais indigne. Je ne savais pas ce qui était en moi !”


“Sais-tu pourquoi tu es ici, un samedi après-midi, au lieu d’être chez toi ?-Non, je ne le sais pas. Je ne me suis même pas posé la question. (…) –Parce que tu es un pro-lé-tai-re !, lui assena-t-il d’une voix forte.”


“Everyone always knows what they're doing," he says abruptly, still not looking up from his hands, the little plastic pot and the old tattoo and the new white dressing on his left wrist. "You know what you're doing, you got your work and your friends and everything and miserable headfucky little teenage girly boys think you're amazing and, I don't know, you might've saved my life, who knows? I might be dead if it weren't for you and Olly but people can't keep looking after me all the time cos that ain't healthy neither, that's just as bad as people not giving a fuck at all. And, like... I'm trying to sort my head out and be a proper grown-up and get my degree and go to work and look after them kids and make sure my dad ain't kicking my sister round the house like a football but it's just so hard all the time, and I know I ain't got no right to complain cos that's just life, ain't it? Everyone's the same, least I ain't got money worries or nothing. I just don't know what I'm doing, everything's too hard. I can try and try forever but I can't be good enough for no one so what the fuck's the point?”


“Je resterai assis à côté de toi tant que tu seras devant cette rivière. Et si tu vas dormir, je dormirai devant ta porte. Et si tu t'en vas loin, je suivrai tes pas. Jusqu'à ce que tu me dises: Va-t'en. Alors je m'en irai. Mais je ne pourrai cesser de t'aimer jusqu'à la fin de mes jours.”


“Elle aura donc menti jusqu'au bout! Où est-elle! Pas là... pas au ciel... pas anéantie...où? Oh! tu disais que tu n'avais pas souci de mes souffrances. Et moi, je fais une prière... je la répète jusqu'à ce que ma langue s'engourdisse : Catherine Earnshaw, puisses-tu ne pas trouver le repos tant que je vivrais! Tu dis que je t'ai tuée, hante-moi alors! Les victimes hantent leurs meurtrier, je crois. Je sais que des fantômes ont erré sur la terre. Sois toujours avec moi... prends n'importe quelle forme... rends-moi fou! mais ne me laisse pas dans cet abîme où je ne puis te trouver. Oh! Dieu! c'est indicible! je ne peux pas vivre sans ma vie! je ne peux pas vivre sans mon âme!”