“Souviens-toi de la sagesse de tes ancêtres... fouille dans le jardin du souvenir, tu y trouveras des idées et du soleil... ne tremble pas devant le mystérieux arbre des magies. La vie prend racine aux branches de l'amour." – chapitre 2”

Sandra Jayat

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“Nous sommes des nomades parce que la seule chose permanente dans la vie, c’est le changement… Si tu comprends cela, tu auras déjà fait la moitié du chemin.” - chapitre 4”


“Le passé est un voyageur de passage, petit… Ne le laisse pas s’installer sur la route du présent… Il risquerait d’épuiser l’avenir.” - chapitre 4”


“Mais, si nous ne savions pas lutter pour sauvegarder notre existence, nous ne pourrions aimer la vie!” – chapitre 2”


“Il ne fait aucun doute pour moi que la sagesse est le but principal de la vie et c'est pourquoi je reviens toujours aux stoïciens. Ils ont atteint la sagesse, on ne peut donc plus les appeler des philosophes au sens propre du terme. De mon point de vue, la sagesse est le terme naturel de la philosophie, sa fin dans les deux sens du mot. Une philosophie finit en sagesse et par là même disparaît.”


“Le regard analytique et le regard intuitif sur la vie ne peuvent s'harmoniser dans un même être que dans la mesure où le premier est subordonné au second. C'est du second, et notamment du sentiment de beauté et de compassion qu'il enferme, que découle le sens de la totalité de même que celui des équilibres et de la limite. Le regard intuitif est la condition de la sagesse sans laquelle le regard analytique peut conduire à des excès suicidaires. L'analyse des phénomènes donne de la puissance sur eux, elle permet de dominer la nature, mais elle n'enferme aucune indication quant aux limites qu'il convient d'assigner à cette puissance.”


“La Courbe de tes yeuxLa courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,Un rond de danse et de douceur,Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécuC'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.Feuilles de jour et mousse de rosée,Roseaux du vent, sourires parfumés,Ailes couvrant le monde de lumière,Bateaux chargés du ciel et de la mer,Chasseurs des bruits et sources des couleurs,Parfums éclos d'une couvée d'auroresQui gît toujours sur la paille des astres,Comme le jour dépend de l'innocenceLe monde entier dépend de tes yeux pursEt tout mon sang coule dans leurs regards.”