“La barbarie n est le contraire de la culture que dans le cadre de la hierarchie de pensee que celle-ci nous propose. ”
“La muerte era de una naturaleza piadosa, significativa y tristemente bella, es decir, espiritual; pero, al mismo tiempo, también poseía una segunda naturaleza, casi contraria, muy física y material que, desde luego, no se podía considerar bella, ni significativa, ni piadosa, ni siquiera triste. La naturaleza solemne y espiritual se expresaba en la suntuosa mortaja y ataúd del difunto, las magníficas flores y las palmas que, como se sabe, significan la paz celestial (...) Todas aquellas disposiciones claramente hallaban su sentido y su buen fin en la idea de que el abuelo había adoptado su forma definitiva y verdadera para siempre. Pero además, como muy bien captó el pequeño Hans Castorp, aunque no quiso reconocerlo, todo aquello, y especialmente a su vez, la enorme cantidad de flores (y, entre éstas, en particular de nardos) tenía otro sentido y otro fin más prosaico: mitigar ese otro aspecto de la muete que no es ni bello ni realmente triste, sino más bien casi indecente, bajo, indignamente físico; hacer olvidar o impedir tomar conciencia de la muerte (pp.43-44)”
“Naphta commença à parler de pieux excès de la charité qu'avait connus le moyen âge, de cas étonnants de fanatisme et d'exaltation dans les soins donnés aux malades : des filles de rois avaient baisé les plaies puantes de lépreux, s'étaient volontairement exposées à la contagion de la lêpre, avaient appelé leurs roses les ulcères qui se formaient sur leur corps, avaient bu l'eau où s'étaient lavés des malades purulents et avaient déclaré ensuite que rien ne leur avait jamais semblé meilleur.(ch. VI, operationes spirituales)”
“Attraverso le inferriate della sua individualità, l’uomo fissa senza speranza le mura di cinta delle circostanze esteriori, finché arriva la morte e lo richiama a casa, alla sua libertà… Individualità! Ah, quello che si è, che si può e che si ha, sembra povero, grigio, modesto e noioso; ma quello che non si è, non si può e non si ha, è proprio quello che guardiamo con invidia struggente, che diventa amore per paura che diventi odio. Io porto in me il germe, la radice, la possibilità per tutte le attitudini e le attività di questo mondo… Dove potrei essere, se non fossi qui? Chi, che cosa, come potrei essere se non fossi me stesso, se questa mia persona non mi chiudesse, se non separasse la mia conoscenza da tutti coloro che sono me! L’organismo! Cieca, sconsiderata, deplorevole eruzione dell’incalzante volontà! Meglio, per davvero, che questa volontà si liberi nella notte senza spazio e senza tempo, invece di languire in prigione, appena illuminata da una tremula e vacillante fiammella dell’intelletto!”
“L'homme ne vit pas seulement sa vie personnelle comme individu, mais consciemment ou inconsciemment il participe aussi à celle de son époque et de ses contemporains, et même s'il devait considérer les bases générales et impersonnelles de son existence comme des données immédiates, les tenir pour naturelles et être aussi éloigné de l'idée d'exercer contre elles une critique que le bon Hans Castorp l'était réellement, il est néanmoins possible qu'il sente son bien-être moral vaguement affecté par leurs défauts. L'individu peut envisager toute sorte de buts personnels, de fins, d'espérances, de perspectives où il puise une impulsion à de grands efforts et à son activité, mais lorsque l'impersonnel autour de lui, l'époque elle-même, en dépit de son agitation, manque de buts et d'espérances, lorsqu'elle se révèle en secret désespérée, désorientée et sans issue, lorsqu'à la question, posée consciemment ou inconsciemment, mais finalement posée en quelque manière, sur le sens suprême, plus que personnel et inconditionné, de tout effort et de toute activité, elle oppose le silence du vide, cet état de choses paralysera justement les efforts d'un caractère droit, et cette influence, par-delà l'âme et la morale, s'étendra jusqu'à la partie physique et organique de l'individu. Pour être disposé à fournir un effort considérable qui dépasse la mesure de ce qui est communément pratiqué, sans que l'époque puisse donner une réponse satisfaisante à la question " à quoi bon? ", il faut une solitude et une pureté morales qui sont rares et d'une nature héroïque, ou une vitalité particulièrement robuste. Hans Castorp ne possédait ni l'une ni l'autre, et il n'était ainsi donc qu'un homme malgré tout moyen, encore que dans un sens des plus honorables.(ch. II)”
“ceea ce te’nalta, ceea ce iti sporeste sentimentul de putere si vigoare si dominare, la dracu asta’i adevarul – chiar daca vazut din punctul de vedere al moralei ar fi de zece ori minciuna. ce vreau sa spun este ca un neadevar de natura a produce o sporire a puterii se poate masura cu orice adevar virtuos dar sterp.”