“victor hugo, Les Contemplations, MorsJe vis cette faucheuse. Elle était dans son champ. Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant, Noir squelette laissant passer le crépuscule. Dans l'ombre où l'on dirait que tout tremble et recule, L'homme suivait des yeux les lueurs de la faulx.Et les triomphateurs sous les arcs triomphaux Tombaient ; elle changeait en désert Babylone, Le trône en échafaud et l'échafaud en trône, Les roses en fumier, les enfants en oiseaux,L'or en cendre, et les yeux des mères en ruisseaux. Et les femmes criaient : - Rends-nous ce petit être. Pour le faire mourir, pourquoi l'avoir fait naître ? -Ce n'était qu'un sanglot sur terre, en haut, en bas ; Des mains aux doigts osseux sortaient des noirs grabats ; Un vent froid bruissait dans les linceuls sans nombre ; Les peuples éperdus semblaient sous la faulx sombre Un troupeau frissonnant qui dans l'ombre s'enfuit ; Tout était sous ses pieds deuil, épouvante et nuit.Derrière elle, le front baigné de douces flammes, Un ange souriant portait la gerbe d'âmes.”
“any one who had listened to Courfeyrac in 1828 would have thought he heard Tholomyes in 1817. Only, Courfeyrac was an honourable fellow. Beneath the apparent similarities of the exterior mind, the difference between him and Tholomyes was very great. The latent man which existed in the two was totally different in the first from what it was in the second. There was in Tholomyes a district attorney, and in Courfeyrac a paladin.”
“La doctrina significa aquello que hace que el pueblo esté en armonía con su gobernante, de modo que le siga donde sea, sin temer por sus vidas ni a correr cualquier peligro.”
“Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeUn bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.”
“La pensée est le labeur de l’intelligence, la rêverie en est la volupté.”
“No tenían ya palabras. Las estrellas empezaban a brillar. ¿Cómo fue que sus labios se encontraron? ¿Cómo es que el pájaro canta, que la nieve se funde, que la rosa se abre? Un beso; eso fue todo. Los dos se estremecieron, y se miraron en la sombra con ojos brillantes. No sentían ni el frío de la noche, ni la frialdad de la piedra,ni la humedad de la tierra, ni la humedad de las hojas; se miraban y tenían el corazón lleno de pensamientos. Se habían cogido de las manos sin saberlo.”